Réglementation des crypto-monnaies en Italie – Ici, le Bitcoin est une monnaie!
Salut, c’est Qadir A.K, amateur de crypto et chroniqueur de recherche.
Ce fut une expérience incroyable d’écrire cette série et une excellente réponse de mes lecteurs. Encore un autre article attend vos commentaires ici.
Aujourd’hui, nous connaîtrons la réglementation en Republica Italiana a «Bel Paese» – ce qui signifie beau pays, avec mon prochain chapitre de ma série d’écriture, «The Cryptocurrency Breakthrough 2020 – Synopsis 12» – Cryptocurrency Regulations in Italy.
L’Italie a été l’un des premiers pays à examiner la cryptomonnaies et essayé de rationaliser leurs activités. Cependant, il n’y a toujours pas d’image claire, mais la détermination du gouvernement à traiter la crypto et ses activités peut être discutée.
Gouvernement italien et crypto-monnaie
À l’heure actuelle, aucune réglementation n’empêche les Italiens de posséder, d’utiliser, d’acheter ou de vendre des crypto-monnaies comme moyen de paiement. Les crypto-monnaies sont des marchés légaux en Italie Le gouvernement italien a prévu de les intégrer dans leur système fiscal existant.
Le gouvernement reconnaît Bitcoin car la monnaie et l’environnement en Italie sont compatibles avec les crypto-monnaies avec environ 39 guichets automatiques Bitcoin et un énorme nombre d’utilisateurs de bitcoins locaux. Les individus ainsi que le gouvernement s’intéressent de plus en plus à la mise en œuvre blockchain dans divers secteurs en Italie pour plonger la croissance économique du pays.
Récemment, la plus grande agence de presse italienne a utilisé la technologie de la blockchain pour lutter contre la propagation de fausses informations.
Et la Croix-Rouge italienne s’est associée à plusieurs autres entreprises pour lancer une plateforme de collecte de fonds et accepter les Bitcoins comme dons au milieu de la pandémie de coronavirus
Réglementation sur les crypto-monnaies
Comme indiqué ci-dessus, les crypto-monnaies sont des marchés légaux en Italie. Les réglementations en Italie sont cependant indistinctes avec moins de précision. La banque centrale, la Banca d’Italia, préoccupée par le manque d’informations, de réglementations, de surveillance et de garanties, a publié un avis le 30 janvier 2015, mentionnant la forte volatilité, les possibilités d’activités illicites et l’absence de réglementation fiscale.
Plus tard en septembre 2018, l’Italie a rejoint le partenariat européen Blockchain. Le but du partenariat était de générer une meilleure coopération entre les pays membres et de se préparer au lancement d’une application blockchain à l’échelle de l’UE au profit des secteurs public et privé. L’Italie a également soutenu une Déclaration de Malte pour aider à promouvoir l’utilisation du DLT dans le pays.
Taxes sur les crypto-monnaies
Bien que les crypto-monnaies soient légales en Italie, les lois fiscales les concernant ne sont pas claires en Italie. Les lois ont souvent induit les commerçants en erreur en leur faisant croire que les portefeuilles Bitcoins sont exonérés d’impôts.
La raison de la confusion était le manque d’informations sur le Bitcoin ou les crypto-monnaies traitées ou non comme des devises étrangères. Les commerçants ont estimé que les lois fiscales ne sont pas mises en œuvre sur les bitcoins car ils n’étaient pas considérés comme des devises étrangères..
Cependant, le département des revenus est intervenu et a classé les Bitcoins comme monnaie étrangère et les revenus sont soumis à l’impôt. Ainsi, un portefeuille qui a détenu des actifs d’une valeur de plus de 60 000 $ pendant plus de sept jours au cours de la même année sera imposé. En Italie, le taux d’imposition des gains sur les opérations de change est de 26%.
Lois mises en œuvre sur les crypto-monnaies
Les monnaies virtuelles et les échanges de monnaies virtuelles relèvent tous deux de la directive récemment mise en œuvre, la cinquième directive de l’UE contre le blanchiment d’argent. L’Italie et tous les pays membres européens doivent se conformer au 5AMLD et le mettre en œuvre.
Récemment, le 10 janvier 2020, l’Union européenne a mis en œuvre une nouvelle loi appelée UE cinquième directive anti-blanchiment (5-AMLD) et l’Italie est l’un des pays membres censés appliquer la loi. Selon la directive, le échanges de crypto-monnaie et le porte monnaie les fournisseurs sont tenus d’identifier leurs clients via le processus KYC et de s’enregistrer également auprès des autorités concernées.
Séries d’évènements
22-03-2020:- La banque italienne Banca Sella, ouvre un Bitcoin plateforme de trading appelée plateforme Hype, où les clients peuvent échanger des Bitcoins via leurs comptes.
02-12-2019:- Le gouvernement italien et 30 experts italiens s’associent pour développer un cadre réglementaire afin de promouvoir la technologie blockchain dans le pays.
23-01-2019:- Les commissions sénatoriales italiennes des affaires constitutionnelles et des travaux publics ont approuvé un amendement appelé «Decreto semplificazioni». L’amendement définissait une technologie basée sur le grand livre appelée technologie blockchain pour la commémoration des documents. Le gouvernement italien n’a pas encore approuvé cet amendement
26-06-2017:- L’UE n’a pas encore approuvé les modifications apportées dans le cadre de la LBC 4 proposées par l’Italie le 25 mai 2017. Les modifications comprenaient divers articles spécifiquement pour les monnaies virtuelles et également l’introduction d’un registre pour les échanges de devises virtuelles.
02-09-2016:- La principale autorité fiscale italienne, Agenzia Delle Entrate, a publié une nouvelle mise à jour en référence aux monnaies numériques. Il a déclaré que les achats et les ventes effectués via Bitcoin seraient exonérés de TVA. Le document déclare ,
«Les activités d’intermédiation en devises traditionnelles réalisées avec des monnaies virtuelles détenues par les acteurs du marché sont exonérées de TVA, car elles font partie des transactions liées aux billets et aux pièces.»
02-02-2015:- La Banque centrale d’Italie a publié une directive indiquant à nouveau que les crypto-monnaies peuvent être utilisées pour des activités illégales. Mais les entreprises qui stockent et échangent de la monnaie fiduciaire en monnaie virtuelle ne sont pas tenues de se conformer aux exigences AML / KYC. Cependant, les autres activités liées à la monnaie virtuelle ne sont pas incluses.
30-01-2015:- La Banque centrale d’Italie émet deux directives mettant en garde contre l’utilisation de la monnaie virtuelle. L’Autorité de la Banque européenne a également clairement indiqué que les institutions financières ne devraient pas acheter ou investir dans une monnaie virtuelle tant qu’un cadre juridique formel n’a pas été établi..
11-07-2014:- Les autorités italiennes ont émis des avertissements Bitcoin et ont également appelé à une réglementation. Dans une interview, le procureur général de Rome, Luigi Ciampoli, a déclaré que Bitcoin pourrait être utilisé par des criminels pour le blanchiment d’argent, le financement du terrorisme ou des activités mafieuses..
En outre, une autorité de police financière italienne a déclaré dans une interview que sans aucune réglementation, Bitcoin serait un outil puissant pour les activités illégales. Les deux ont exhorté à une réglementation stricte sur la crypto-monnaie.
18-01-2014:- Le député italien Sergio Boccadutri a révélé un amendement à un projet de loi. Cet amendement définirait Bitcoin et lancerait un processus de réglementation de la crypto-monnaie. La loi a également proposé au gouvernement italien d’identifier l’expéditeur dont la transaction dépasse 1000 Euros
Note finale
L’Italie est l’un des beaux endroits à visiter et aussi pour les crypto-monnaies. Les cryptos traités comme légaux peuvent être utilisés comme mode de paiement. Cependant, le gouvernement doit travailler sur les lois de régulation et les taxes de manière plus claire et précise.
L’Italie reconnaît le potentiel des crypto-monnaies à encourager les activités illégales et, par conséquent, le gouvernement passe maintenant plus de temps à former un cadre réglementaire, le rendant plus sûr pour les investisseurs et les passionnés..